Extraits de thèses

Évelyne Monsallier Msc.D.

L’alchimie Spirituelle

 

  • L’Univers est fait de nombres

Au cours de mon parcours de recherche, j’ai étudié́ la numérologie, cette ancienne science des nombres, afin de décoder les mystères de l’Univers en utilisant les chiffres comme des clés pour comprendre la nature profonde de la réalité́. Les nombres, omniprésents dans ma vie, ont joué un rôle fondamental dans l’univers lumineux qui m’entourait, depuis la compréhension des nombres et des maîtres nombres jusqu’au décodage des heures miroirs que je voyais sans cesse. J’ai exploré la signification symbolique des nombres et leur connexion intime avec la Lumière Originelle. Chaque nombre incarne une énergie, une vibration qui résonne avec les lois divines de l’Univers.

Dans l’Univers Lumineux, les nombres ne sont pas simplement des symboles abstraits, mais des porteurs d’énergies profondes. Ce sont de véritables lois fondamentales dans l’Univers Lumineux, intimement liés à la Lumière, véhicules par lesquels les principes universels s’expriment. Chaque nombre, de 1 à 9, tels des symboles sacrés, porte en lui une signification profonde qui peut être interprétée comme une manifestation de certaines forces ou énergies dans l’univers. Chaque nombre est une représentation des énergies qui façonnent notre réalité et chacun d’entre eux a sa propre correspondance avec les principes universels qui guident la réalité.

Par exemple, le Un, tel un pilier central, incarne l’unité totale, le Tout et la Source de toute création. Il est le blanc immaculé, contenant toutes les couleurs de la lumière. Le Deux, symbole de dualité, représente aussi l’équilibre entre les forces opposées, le Yin et le Yang, le Ciel et la Terre, et les polarités en nous. Les nombres continuent à tisser leur toile de signification avec le Trois, la Tri-unité divine, illustrant le monde de l’âme, du corps et de l’esprit, ainsi que les trois couleurs primaires de la lumière. Notre voyage dans la numérotation se poursuit avec le Quatre, les gardiens des quatre pièces de l’univers ou des quatre fleuves du jardin d’Eden, les quatre éléments, les quatre piliers fondamentaux et les quatre archanges des quatre directions.

Le Sept, nombre sacré et universel, nous révélera ses secrets ésotériques, liés aux sept rayons de lumière, aux sept chakras, aux sept jours de la semaine, aux sept principaux archanges et à bien d’autres aspects de notre existence. Nous venons uniquement de parler de quelques nombres mais tous les nombres, seuls ou combinés avec d’autres nombres, révèlent leurs propres secrets.

En explorant ces lois numériques, j’ai compris leur rôle essentiel dans la compréhension profonde de la lumière et de son influence sur notre réalité. J’ai exploré comment ces lois numériques sont liées à la Lumière et à son rôle dans la création et la préservation de la vie. J’ai examiné comment chaque nombre peut être un élément clé pour comprendre différents aspects de la Lumière et de son influence sur notre existence.

 

  • La Lumière est la clé

La Lumière Originelle ne se limite pas à la simple illumination de l’univers. Elle est également porteuse de significations spirituelles profondes. L’étude de la Lumière Originelle nous conduit à explorer comment elle se décline en un spectre infini de couleurs. Pour cela, il faut partir à l’origine de la création de notre monde.

C’est en étudiant les écrits de la Bible, parallèlement à mes enseignements sur la lumière physique et la couleur que j’ai fait le rapprochement. La Lumière est la véritable clé de l’alchimie spirituelle. Elle est à l’origine de tout. « Que la lumière soit » ont été les premiers mots exprimés, la première énergie de Créateur, le premier jour de la Création. Il s’agissait là d’une forme de précipitation alchimique. Le monde a été créé avec cette première énergie créatrice, par une puissance extraordinaire et divine. Cela suppose qu’un Super Créateur était à l’origine de ces créations de lumière. En cela, nous pouvons comprendre que ce Créateur était lui-même La Lumière Universelle.

« Et la lumière fut. Puis il sépara la lumière des ténèbres. ». L’Esprit Universel créa alors deux luminaires, le soleil pour éclairer le jour et la lune pour éclairer la nuit. Le soleil est donc une création divine, une émanation de La Lumière Originelle, son expression créative et il en de même pour la création du ciel, de la terre et de tout être vivant sur notre planète. En créant la lumière solaire, il nous offrait, grâce au spectre solaire et ses millions de couleurs, un moyen de comprendre Ses Messages Divins, Sa Parole, Son Verbe, Son énergie, Sa Lumière Divine. En effet, la lumière solaire se décompose en un spectre infini de couleurs lorsqu’elle traverse un prisme. Isaac Newton nous l’a démontré.

Lorsque nous embrassons la Lumière dans sa totalité, en intégrant ses différentes nuances et vibrations, nous nous engageons sur un chemin d’évolution. La Lumière, en tant qu’essence fondamentale de l’Univers, détient les clés de la croissance, de l’expansion et du développement. Elle éclaire notre route et nous guide dans notre quête d’auto-perfectionnement.

 

Les couleurs de la métamorphose

J’ai longuement étudié les propriétés de la couleur à travers différentes sources d’informations et enseignements. Et mon expérience professionnelle de plus de dix ans en chromothérapie ainsi que mes études en Métaphysique Appliquée m’ont permis d’avancer dans la compréhension de la lumière et des couleurs.

 

  • Les couleurs : expressions du langage universel de La Lumière

Chaque couleur dans le spectre lumineux représente une qualité unique et une énergie spécifique. Par exemple, le rouge peut symboliser la passion et la vitalité, tandis que le bleu évoque la tranquillité et la communication. Ces couleurs ne sont pas des entités indépendantes, mais plutôt des aspects différents de la Lumière Originelle. Comprendre ces nuances de couleur nous permet de décoder les messages spirituels que la Lumière Divine nous transmet à travers l’arc-en-ciel de l’existence.

Dans le cadre de mon étude, je ne peux ignorer le rôle essentiel des couleurs. Bien plus que des teintes visuelles, les couleurs sont les éclats de La Lumière, chacune portant en elle une signification profonde et des propriétés uniques. J’ai plongé ainsi dans l’univers des couleurs et exploré comment elles façonnent notre réalité, communiquent avec notre être à travers leurs qualités physiques, émotionnelles et spirituelles. J’ai cherché à expliquer comment la compréhension de la symbolique des couleurs est essentielle pour décoder les messages de La Lumière, illuminant notre chemin vers l’ascension spirituelle.

L’étude de la Lumière Originelle et de ses déclinaisons de couleurs nous amène à explorer les profondeurs de la spiritualité et de la physique quantique. En effet, elle nous invite à passer au-delà des frontières entre la science et la spiritualité pour comprendre que la couleur-lumière est à la fois la source de notre compréhension du monde matériel et la clé de notre éveil spirituel. Nous plongerons plus en profondeur dans ces aspects dans le chapitre 4, en examinant comment la Lumière Originelle interagit avec notre monde, nourrit notre âme et guide notre quête de sens dans l’univers infiniment complexe qui nous entoure.

 

  • L’alchimie des couleurs : une des clés de compréhension de l’illumination

Au-delà de leur beauté visuelle, les couleurs sont porteuses de messages divins et de puissantes énergies. Mon voyage dans le monde des couleurs, de la chromothérapie à la chromobioénergie®, a été une exploration fascinante de la manière dont ces nuances colorées influencent notre corps, nos émotions et notre esprit. Mon expérience en tant que thérapeute m’a permis de comprendre comment les couleurs peuvent être des outils précieux dans notre cheminement spirituel. J’ai ainsi pu plonger dans l’alchimie des couleurs, comprendre leur relation avec les Anges, explorant comment elles peuvent être des clés essentielles pour ouvrir la porte de l’illumination intérieure.

Il est fascinant d’observer comment l’enseignement de la lumière et des couleurs peut révéler les mystères de notre processus de création, de vie et de transformation. Cette compréhension profonde des couleurs et de leur signification offre une clarté précieuse sur la manière dont nous évoluons et grandissons en tant qu’êtres spirituels et humains.

La Lumière, en tant que Source Originelle de toute vie, détient les secrets de notre existence. Elle se manifeste à travers les couleurs, chacune portant en elle des messages divins et des propriétés spécifiques. En étudiant les qualités divines des couleurs, nous pouvons décoder les étapes de notre voyage, des débuts remplis de passion et de vitalité au chemin vers la sagesse, l’équilibre et la transformation.

Comprendre que chaque couleur correspond à une qualité de La Lumière Originelle ou une étape de notre développement personnel m’a permis de mieux connaître le fonctionnement de l’être, de guider notre croissance, et de faciliter notre épanouissement. C’est une leçon précieuse que la Lumière et les couleurs nous offrent, un enseignement qui éclaire notre chemin dans ce monde complexe et en constante évolution.

 

  • La chromobioénergie® inspirée par l’Esprit Divin et ses émanations de Lumière.

Guidée par l’expérience extraordinaire de ma mort imminente, j’ai embrassé la mission inspirée par l’Intelligence Divine : la création de la chromobioénergie®. Cette méthode de santé holistique est le fruit de l’enseignement direct que m’a offert la Lumière Divine lors de mon passage vers l’au-delà. Sous la guidance de l’Esprit Universel et en compagnie des Êtres de Lumière, j’ai cocréé cette merveilleuse approche de bien-être. Inspirée par la Pensée, j’ai minutieusement élaboré, étape par étape, cette méthode de santé qui considère les besoins uniques de chaque individu. Mes mains ont été les instruments du Créateur, canal de Son Amour, de Sa Lumière et de Sa Grâce Divine. Comme un compositeur-créateur inspiré, j’ai composé des produits de harmonieux de soins en chromobioénergie® dans le but de favoriser l’harmonie et l’équilibre chez tous les êtres vivants sur Terre : qu’il s’agisse d’êtres humains, d’animaux, d’arbres, de plantes, de fleurs ou de cristaux. J’ai créé des élixirs et des essences imprégnés des fréquences des couleurs et des sons, enrichis de l’énergie des plantes, des fleurs et des cristaux. À travers ces réalisations, j’ai œuvré et continue d’œuvrer pour aider de nombreuses personnes à retrouver leur équilibre physique, émotionnel et mental.

 

  • Les chakras, portes de l’énergie universelle et de la transformation

L’alchimie spirituelle au cœur de ma thèse sur la Métaphysique Appliquée embrasse les enseignements de la lumière, ainsi que les méthodes d’assimilation de celle-ci. Les chakras font partie des méthodes essentielles pour notre évolution intérieure.

En effet, ces centres d’énergie situés le long de notre colonne vertébrale, sont une expression directe des lois de La Lumière que nous avons explorées précédemment. Ils nous offrent un moyen concret de comprendre comment l’énergie circule en nous et comment elle impacte notre bien-être physique et spirituel.

Dans chaque être vivant, l’essence des trois mondes se reflète à l’infini. Notre existence est propulsée par trois forces distinctes, agissant en harmonie tout au long de notre voyage : la force terrestre, la force humaine et la force spirituelle. On peut établir une analogie entre ces trois forces et les six premiers chakras, tandis que le septième chakra sert de passerelle dépendant du plan physique au plan métaphysique.

Ils jouent un rôle central dans notre quête d’illumination. Bien plus que des centres énergétiques ; ce sont des portes d’accès aux dimensions spirituelles, des clés pour comprendre notre évolution intérieure. Nous découvrirons dans le chapitre 4 comment ces vortex d’énergie interagissent avec notre être tout entier, agissant comme des moteurs de transformation, propulsant notre voyage vers des niveaux supérieurs de conscience.

D’après toute la littérature que j’ai lue sur les chakras, et surtout à la suite de mon expérience en énergétique en tant que thérapeute, ces centres d’énergie multidimensionnels traitent de nombreux aspects de notre être, y compris les aspects physiques, émotionnels, mentaux et spirituels. Ils sont ouverts comme des portes d’énergie dans notre corps, faisant entrer, filtrant et transformant la lumière (et les couleurs) dans notre corps physique et énergétique.

En analysant ces centres d’énergie à la lumière des lois numériques et de l’alchimie spirituelle, nous pouvons dévoiler leur rôle profond dans notre quête d’illumination. Leur activation et leur équilibrage deviennent des étapes essentielles du processus alchimique, où la Lumière, à travers les nombres sacrés, guide notre transformation.

Carl G. Jung écrit justement dans son livre « Psychologie du Yoga de la Kundalini » les phases de développement de la conscience supérieure à travers son évolution à partir des différents niveaux de « chakras ». Chaque phase de progression d’un niveau à l’autre exige une complète déstructuration du niveau de conscience existant et l’ensemble du processus requiert d’y consacrer la durée d’une vie sans garantie de succès.

 

L’importance de la Métaphysique Appliquée dans le processus de transformation

J’ai entrepris également une exploration délibérée de la Métaphysique Appliquée, en plongeant dans les diverses pratiques proposées dans mes cours, et j’ai notamment approfondi les pratiques méditatives, allant de la méditation de pleine conscience à la méditation transcendantale. Ces pratiques m’ont poussée à explorer les profondeurs de la conscience et à cultiver une connexion plus intime avec le Divin. Ces expériences spirituelles ont solidifié ma conviction en la Puissance Divine intérieure et m’ont incité à approfondir davantage mon cheminement spirituel.

 

  • Le rôle de la méditation

Parmi les pratiques de Métaphysique Appliquée, la méditation a joué un rôle central, étant introduite dès la première leçon de la Métaphysique Appliquée puis revue dans le deuxième et troisième cycle. Depuis, la méditation est devenue une pratique quotidienne, ancrée dans ma vie depuis plusieurs années.

Le cours sur la méditation mystique et dynamique au sein du troisième cycle de Métaphysique Appliquée comprenait des exercices de concentration et de programmation de mon subconscient, ce qui a enrichi ma compréhension de la méditation en tant qu’outil puissant de transformation.

La méditation a créé un espace propice à l’exploration des états de conscience supérieurs et a apporté une clarté mentale significative, renforçant ainsi ma compréhension de ma propre spiritualité. Elle constitue un socle essentiel pour ma croissance spirituelle. Elle me permet de plonger en profondeur dans mon être, d’apaiser mon esprit et d’établir une connexion intime avec ma dimension spirituelle intérieure.

La méditation est idéale pour explorer nos émotions en profondeur. En nous plongeant dans un état de calme intérieur et de pleine conscience, la méditation nous permet d’observer nos émotions sans jugement ni distraction. C’est une pratique puissante qui nous invite à plonger dans les eaux tranquilles de notre monde intérieur, à sonder les profondeurs de notre âme et à entrer en contact avec les différentes couches de nos sentiments et de nos pensées. À travers cette pratique paisible, nous pouvons mieux comprendre l’origine de nos émotions, leur impact sur notre vie quotidienne et comment elles influencent nos actions et nos réactions. La méditation devient une porte d’entrée vers une plus grande conscience émotionnelle, nous permettant d’appréhender nos émotions avec une clarté renouvelée et de les intégrer dans notre cheminement spirituel.

 

  • Visualiser sa réalité

La visualisation me permet de concrétiser mes intentions, de créer des images mentales puissantes de ma transformation future. Cette technique vue en deuxième cycle m’a aidée à créer des images mentales claires de mes objectifs. Cela va au-delà de la simple imagination ; c’est une expérience sensorielle intérieure complète où nous engageons tous nos sens pour immerger notre esprit dans une réalité créée par nous-mêmes. En utilisant la visualisation, j’ai pu façonner ma réalité intérieure, transformer mes croyances limitantes en croyances positives, et cultiver une attitude mentale alignée avec mes aspirations spirituelles. Cette pratique m’a permis de me connecter à mon pouvoir créateur inné, de manifester mes intentions avec plus de clarté, et d’aligner mes désirs profonds avec mon chemin spirituel.

 

  • Reprogrammer son subconscient

Pour éliminer certaines peurs profondes liées à des blocages résistants, j’ai créé de nouveaux patterns positifs en me référant aux leçons 15 et 16 du premier cycle de Métaphysique Appliquée. J’ai utilisé des affirmations positives et des suggestions répétées, j’ai progressivement reprogrammé mon subconscient pour éliminer la peur qui pouvait entraîner ma quête de l’illumination. Cette méthode m’a permis de cultiver la confiance en moi, de renforcer ma conviction que tout se passerait bien et d’ancrer des croyances positives profondément enracinées.

Pour éliminer les vieux schémas négatifs persistants, j’ai puisé dans la puissante énergie divine en moi. Cette énergie sacrée m’a servi de catalyseur pour transmuter mes anciens schémas en de nouvelles habitudes positives. Là où la visualisation offre une perspective mentale, la programmation du subconscient et la création de nouveaux modèles positifs agissent directement sur notre être intérieur, nous aidant à nous libérer des charges du passé et à manifester notre potentiel spirituel le plus élevé. En combinant ces pratiques, j’ai pu équilibrer mon mental, mes émotions et mon esprit, ouvrant ainsi la voie vers une transformation profonde et l’accomplissement de mon voyage vers l’illumination.

En combinant différentes approches, nous pouvons travailler de manière holistique sur les niveaux physiques, émotionnels, mentaux et spirituels de notre être. C’est ainsi que nous nourrissons nos corps subtils avec la Lumière, catalysant notre évolution vers des niveaux de conscience plus élevés et embrassant pleinement le potentiel de notre Corps de Lumière.

  • Se réaliser grâce aux leçons de Métaphysique Appliquée

Les leçons de Métaphysique Appliquée sont devenues un outil indispensable dans cette quête intérieure. Grâce à elles, j’ai pu non seulement explorer les profondeurs de ma propre Lumière intérieure, mais aussi guider d’autres individus sur leur propre chemin vers la découverte de leur Puissance Divine intérieure. Cette transformation profonde m’a conduite à devenir un canal pour la Lumière Divine, apportant une dimension encore plus profonde à mes pratiques thérapeutiques et à mon accompagnement holistique.

Par exemple, dans la leçon 3 du premier cycle, a été un véritable tournant dans mon parcours en Métaphysique Appliquée. J’y ai découvert les fondements de la conscience spirituelle. La leçon 5 du premier cycle a été une révélation en soi, car elle m’a initiée à la notion essentielle de la Puissance Divine intérieure, force sacrée qui réside en moi. La leçon 9 du premier cycle a constitué une étape cruciale car elle m’a enseigné comment intégrer activement la Puissance Divine dans toutes mes activités quotidiennes. La leçon 29 met en évidence un concept clé qui sous-tend ma thèse : le changement continu. Cette leçon nous rappelle que la seule constante dans notre vie est le changement. La leçon 29 du cours de base du premier cycle et le guide personnel pour réaliser la transformation offrent un cadre conceptuel essentiel pour aborder ma recherche.

L’expérience hors du commun du voyage astral, vu dans la cinquième partie du cycle 3 de Métaphysique Appliquée, m’a permis de me sentir connectée à l’ensemble de l’univers. Les prières thérapeutiques, vues dès le premier cycle de Métaphysique Appliquée m’ont permis de créer des intentions consciencieuses pour ma transformation personnelle et spirituelle et sont devenues des alliées précieuses dans ma quête d’élévation spirituelle et d’illumination intérieure. Les techniques de respiration apprises en deuxième cycle m’ont permis d’accéder à des états modifiés de conscience propices à la transformation intérieure.

Parmi les autres méthodes que j’ai adoptées, le yoga m’a aidée à intégrer le corps, l’esprit et l’âme ; à libérer des blocages pour développer ma connexion à la Lumière Divine intérieure. Les rêves ont occupé une place non négligeable dans ma vie. Le rêve éveillé m’a ouverte des portes vers mon inconscient et m’a ouvert la voie vers ma propre transformation et l’illumination spirituelle.

Toutes ces techniques, vues en Métaphysique Appliquée, pratiquées individuellement ou collectivement, ont été des piliers de ma transformation intérieure. Elles m’ont guidée, inspirée et ont profondément enrichie mon voyage spirituel, m’aidant à embrasser la lumière intérieure qui réside en chacun de nous et à poursuivre ma quête de l’illumination et de recherche de la pierre philosophale, symbole ultime de l’accomplissement spirituel.

 

Évolution, transformation et transmutation par la Lumière

À travers les mystères de La Lumière et des couleurs, il est impératif de souligner que la Lumière elle-même est le catalyseur suprême de l’évolution, de la transformation et de la transmutation. La compréhension approfondie des lois de La Lumière est bien plus qu’une quête intellectuelle ; elle revêt une importance cruciale pour la préparation de l’individu à son propre voyage spirituel de transmutation et à son ascension vers des niveaux de conscience transcendantaux.

Lorsque nous embrassons la Lumière dans sa totalité, en intégrant ses différentes nuances et vibrations, nous nous engageons sur un chemin d’évolution. La Lumière, en tant qu’essence fondamentale de l’univers, détient les clés de la croissance, de

l’expansion et du développement. Elle éclaire notre route et nous guide dans notre quête d’auto-perfectionnement.

La transformation est un aspect inévitable de la vie, et elle est étroitement liée à la Lumière. Chaque couleur que nous rencontrons dans notre voyage représente une étape de cette transformation. Du magenta, symbolisant la création initiale, à la pureté divine du blanc, en passant par toutes les autres nuances, nous expérimentons une métamorphose constante. La Lumière nous pousse à évoluer, à nous adapter et à nous renouveler.

La transformation peut également mener à la transmutation, processus par lequel nous transcendons nos limitations humaines pour accéder à des réalités plus élevées. C’est une alchimie de l’âme, une élévation de la conscience vers des dimensions spirituelles. La compréhension profonde des lois de la Lumière est essentielle pour ce voyage de transmutation, car elle nous aide à éliminer les obstacles et à dissiper les aspects de notre être qui nous retiennent.

La Lumière Divine est en fin de compte le guide ultime de notre évolution, de notre transformation et de notre transmutation. Elle détient les clés pour nous élever vers des sommets de conscience que nous n’aurions jamais cru possibles. A travers ses déclinaisons de couleurs, elle nous transmet ses messages universels. En intégrant ces enseignements dans notre vie quotidienne, nous nous préparons à un voyage d’âme profondément significatif, à une métamorphose radicale de notre être et à une ascension vers des niveaux de conscience qui transcendent notre réalité ordinaire. La Lumière est notre alliée inébranlable dans cette quête spirituelle, toujours prête à nous guider sur le chemin de l’illumination et de la révélation.

Aujourd’hui, je suis heureuse de partager cette lumière avec les autres, en contribuant à leur cheminement vers la découverte de leur propre Puissance Divine intérieure et de leur connexion au Divin. Ma quête spirituelle continue de m’émerveiller, car elle m’a permis de prendre conscience de la force de guérison et de transformation qui réside en chacun de nous, ainsi que la manière dont la Métaphysique Appliquée peut être un précieux compagnon dans ce voyage de découverte de soi et d’illumination.

Ce parcours spirituel n’a pas été sans défis, mais ces défis ont souvent été des occasions précieuses de croissance et de transformation. Les enseignements de la Métaphysique Appliquée m’ont aidée à naviguer à travers ces moments difficiles en me fournissant des outils pour comprendre les épreuves comme des opportunités d’évolution spirituelle.

Mon exploration des traditions spirituelles du monde a renforcé ma conviction en l’unité fondamentale de toutes les religions et croyances. J’ai découvert que, malgré les différences apparentes, toutes les voies spirituelles partagent un noyau commun de vérité et de lumière. Cela m’a rappelé que la quête de la Puissance Divine intérieure est universelle et que chaque individu a la capacité d’explorer les profondeurs de son être pour trouver cette source de lumière.

En tant que thérapeute holistique, j’ai pu accompagner de nombreuses personnes dans leur propre voyage vers la découverte de leur Puissance Divine intérieure. J’ai vu des vies transformées, des esprits éclairés et des âmes guéries. Cela renforce ma conviction en la puissance de la Métaphysique Appliquée et d’autres approches spirituelles pour catalyser la transformation personnelle.

L’une des réalisations les plus profondes de mon parcours a été la compréhension que la recherche de la Puissance Divine intérieure est une quête constante et évolutive. C’est un voyage sans fin, marqué par des moments d’illumination, des périodes de croissance intensive et des défis inattendus. Tout comme le héros mythique traverse une série d’épreuves et de défis pour atteindre son objectif, nous sommes aussi, en tant qu’individus, confrontés à des obstacles sur notre chemin vers l’illumination et la découverte de notre véritable nature.

Mon propre voyage m’a montré que ces défis ne sont pas des entraves, mais des occasions de grandir et de se transformer. Chaque obstacle sur le chemin devient une pierre de plus dans la construction de notre propre temple intérieur, un lieu de connexion profonde avec la Lumière Divine. Les techniques de la Métaphysique Appliquée ont été les outils qui m’ont aidée à surmonter ces obstacles et à progresser sur la voie de l’illumination.

Comme le souligne Joseph Campbell dans son œuvre intemporelle « Le héros aux mille et un visages », chaque individu est le héros de sa propre histoire. Tout comme les héros mythiques, nous entreprenons des voyages intérieurs, affrontons des défis et cherchons l’illumination et la transformation spirituelle. Tout chercheur spirituel en quête de transformation intérieure est un héros. La sagesse spirituelle nous guide sur le chemin de l’illumination. Des guides, tout comme les alliés dans les récits mythiques, nous soutiennent dans notre voyage spirituel, nous aidant à surmonter les épreuves et les doutes. Les obstacles intérieurs, nos peurs, nos doutes et nos limitations auto-imposées que nous devons surmonter pour accéder à notre propre Lumière intérieure, servent de « gardiens du seuil ». Nous devons les dépasser pour atteindre un niveau supérieur de conscience. La quête de la « pierre philosophale » est une invitation à franchir ces gardiens intérieurs et à découvrir la Lumière qui brille en nous.

Tout compte fait, la « pierre philosophale » est le symbole ultime de l’accomplissement spirituel et de l’illumination. Elle représente la réalisation de notre potentiel le plus élevé, la fusion de notre être avec la Lumière Divine, et la capacité à transmuter les aspects les plus sombres de nous-mêmes en pure lumière. Chacun de nous peut entreprendre cette quête intérieure, en utilisant les enseignements de la Métaphysique Appliquée, la sagesse des grands maîtres spirituels et les archétypes des récits mythiques comme guides sur notre chemin.

Dans cette recherche constante de la Puissance Divine intérieure, nous devenons les héros de notre propre histoire, les alchimistes de notre propre transmutation, et les gardiens de la Lumière. Notre voyage n’a pas de fin, mais il est marqué par une progression constante vers une plus grande illumination, une plus grande compassion et une plus grande harmonie avec le Divin. C’est un voyage exigeant mais gratifiant, une quête éternelle de la « pierre philosophale » de notre être intérieur.

L’une des leçons les plus précieuses que j’ai apprise est que l’illumination et la découverte de la Puissance Divine intérieure ne sont pas des buts en soi, mais plutôt le début d’un voyage encore plus profond. Une fois que nous avons touché du doigt cette Lumière sacrée en nous, notre responsabilité envers nous-mêmes et envers le monde devient encore plus grande. Nous sommes appelés à devenir des phares de lumière pour ceux qui sont encore en train de chercher leur propre chemin…

Pierre Paulin St-Fort Msc.D.

La méditation serait-elle une panacée ?

 

 

 

 

Point de vue philosophique et métaphysique

… regardons l’homme d’un point de vue philosophique et métaphysique. Parmi les nombreux auteurs qui ont écrit sur le sujet, deux ont particulièrement retenu mon attention.

 

D’abord, Michel coquet qui définit l’homme comme une lumière. En effet, il écrit ceci : « les occultistes et les mystiques des anciennes traditions acceptent l’idée que l’homme est né lumière et qu’au cours du temps cette lumière s’est peu à peu voilée à mesure que l’homme a développé des corps de moins en moins subtils, jusqu’à devenir l’homme terrestre que nous sommes maintenant. »

 

Le 2e auteur à avoir retenu mon attention sur le sujet est John Randolph Price qui, non seulement définis l’homme mais encore dresse son parcours cosmique depuis les plans supérieurs de l’univers jusqu’à sa chute : « le plus grand triomphe de la création ne fut pas une espèce d’êtres humains, mais d’êtres de lumière, des êtres spirituels, des individus divins entièrement consacrés comme Saint du Très Haut. Alors, d’où proviennent les êtres humains ? Les anciens nous disent que les êtres de lumière descendirent dans l’univers tridimensionnel pour expérimenter la matière physique et devinrent, par la suite, tellement assimilé au monde de la forme que la conscience spirituelle fut remplacée par la conscience matérielle. Cette transformation se produisit durant des millions d’années, avec comme résultat final que les entités furent emprisonnées à l’état de rêve sur le plan terrestre. »

 

« La mort et la naissance constituent, entre autres, 2 conséquences de ce guet-apens… tu parles d’une chute ! Des êtres dotés d’une conscience cosmique, qui avait pleinement accès à toutes les dimensions, était à présent réduit à « mourir » pour se libérer de la vibration de la terre-puis à revenir dans un corps physique, ce qui supposait la fusion des cellules au moyen de la reproduction sexuelle, suivi d’une période de gestation menant à la naissance. Ce fut le premier cas de ce que nous appelons de nos jours l’évolution, la transformation des cellules a une forme physique dont l’origine et la réalisation complète eurent lieu sur le plan terrestre. D’où la désignation « être de la terre » qui est relié au mot latin humus, d’où dérive le mot humanus qui conduisit au mot « humain ».

 

« Il est intéressant de noter que le mot «  humilier » vient de la même racine étymologique que le mot «  humain ». Quand vous y songez, c’est un peu humiliant pour des êtres du Royaume de la lumière de rester là et d’attendre qu’un quelconque œuf fécondé cette développe pour être ensuite aspirée par un tourbillon d’énergie afin de commencer le processus de croissance physique. De toute façon, à mesure que le temps passait, un corpus entier d’un savoir tridimensionnel était créé. Il devint le « domaine humain » et fut, par la suite, glorifié comme le Royaume humain, le 4e Royaume par ordre croissant. »

 

 

Qu’est-ce que la méditation

 

Dans la littérature ésotérique, il existe une multitude de définitions de la méditation. Dans cette thèse, j’en privilégie 2 : celle de Jean-Paul Simard et celle de Erika Brealey.

Jean-Paul Simard écrit : « Méditer signifie réfléchir, penser, contempler, soit pour faire le tour d’un objet ou pénétrer à fond un sujet, soit pour mettre en ordre son esprit, soit pour parvenir à l’élévation spirituelle. Qu’il s’agisse de méditer sur le cosmos, sur la vie, sur l’existence ou sur un changement à apporter dans sa vie, l’important est de laisser parler notre voix intérieure. »

 

De son côté, Erika Brealey définit la méditation selon 3 aspects.

  • Pour elle, la méditation est d’abord un état.

Elle écrit qu’« on peut la décrire (la méditation) comme un état supérieur de conscience dans lequel les processus normaux la pensée sont transcendés. »

  • … elle définit aussi la méditation comme une pratique.

 

Citons un passage qui le confirme :

« Quand nous nous asseyons en posture de méditation, que nous nous efforçons de diriger notre attention, avec ou sans l’aide d’une technique particulière, quand nous essayons de laisser aller n’ont pensé sans nous y attacher, nous pratiquons la méditation. »

 

  • Elle présente la méditation comme un double processus.
  1. Un processus de transformation intérieure. Car dit-elle : « avec une pratique régulière, nous éliminons les pensées et les émotions qui nous empêchent d’accéder à notre paysage intérieur et nous commençons à entrevoir une réalité différente. La méditation peut nous faire vivre toutes sortes d’expériences : lumière, visions, intuitions, modification du souffle… et brefs instants d’illumination. »
  2. Un processus de purification intérieure qui nous pousse à sortir de nos habitudes. Comme exemple, elle écrit : « à force de nous immerger dans les eaux tranquilles de notre espace intérieur, nous devenons progressivement plus calmes et plus centrés dans notre vie de tous les jours. Nous nous remettons plus vite des échecs. À un niveau plus profond, nous entrons dans une nouvelle relation avec notre conscience et découvrons peu à peu des aspects de nous-mêmes jusque-là cachés ou bloqués. Les chaînes invisibles des pensées inconscientes qui nous emprisonnent et nous conduisent à répéter sans cesse les mêmes vieux schémas de comportements, tel un tigre qui tourne en rond dans sa cage, disparaissent à la lumière de la conscience… au fur et à mesure que se modifie notre espace intérieur, la base sur laquelle nous avions fondé notre vie change aussi. »

 

La méditation et la science

Nous venons de voir que la méditation est un outil spirituel et que les buts qu’elle poursuit sont d’abord et avant tout spirituels…. J mais les bienfaits obtenus par ceux qui pratiquent la méditation dans les écoles ésotériques et dans les groupes de méditation, tant dans leur vie spirituelle que dans leur vie personnelle et professionnelle, en tout fait de susciter un engouement considérable observé dans d’autres secteurs de la société jusqu’à engendrer un attrait pour la communauté scientifique. C’est ce qui a permis à Jeanne Siaud-Facchin de dire : « Jusqu’à une période très récente, la méditation était réservée à une poignée d’hommes et de femmes engagées dans une voie spirituelle. Mais, lorsque la méditation est sortie d’une pratique spirituelle pour devenir une pratique laïque, lorsqu’elle est entrée dans les hôpitaux, lorsqu’elle s’est transformée en une technique formalisée, la science s’en est emparée. »

 

En effet, de nos jours, les études scientifiques sur la méditation et sur ses bienfaits en matière de santé ne se comptent plus. Par exemple, Roger Marcaurelle et ses co-auteurs rapportent que « Plus de 1200 études empiriques ont évalué les effets psychologiques, physiologiques et même sociologiques de la pratique de la méditation. Parmi les formes de méditation issues de l’hindouisme, la méditation transcendantale (MT) C et de loin la plus étudiée par la science moderne… Jusqu’ici, du point de vue scientifique, aucune autre technique de méditation que la MT n’a présentée à elle seule un portrait aussi étendu et convaincant des effets de ce type de pratique sur l’être humain. »…

 

 

La méditation serait-elle une panacée ?

Faire rapport à cette question, les auteurs se divisent en 2 groupes. Il y a ceux qui pensent que la méditation n’est pas une panacée et il y a ceux qui pensent qu’elle l’est.

 

Dans le premier groupe, citons un article rapporté par le docteur Frédéric Rosenfeld, article intitulé « même les meilleurs méditants ont de vieilles plaies à panser. » cet article mentionne qu’en dépit de nombreux potentiels de la méditation, elle est moins efficace, voire sans effet dans plusieurs troubles du bien-être ou les thérapies classiques s’avèrent indiquée : phobies, troubles sexuels, deuil, affirmation de soi, développement des habiletés à communiquer… »

 

Citons un dernier exemple, celui de Edouard E. Costain, qui pense que « la méditation a de multiples à-côtés bénéfiques. Par exemple, elle affine votre perception du monde qui vous entoure; elle vous permet d’asseoir votre existence sur des bases solides et d’y faire régner une certaine harmonie… mais et cette remarque est très importante, ne croyez pas que ce soit la panacée universelle. La méditation ne peut régler vos problèmes à votre place; elle peut en rendre la solution plus facile. Elle ne vous permettra pas de perdre du poids, ni de garder vos cheveux; elle n’empêchera pas votre chair de devenir flasque. Pas plus qu’elle ne gommera les taches de rousseur ou les verrues. »

Marie-Pier Gagné Msc.M.

La programmation du Subconscient par l’autosuggestion

 

Comment améliorer sa vie

Lorsque nous commençons à vouloir améliorer, voire changer complètement une situation dans notre vie, il faut confronter nos croyances, notre système de pensée.  Peu importe d’où viennent ces convictions, l’important est de les transcender, de les surpasser.  Il faut se remettre en question constamment.  Comme le dit Joe Vitale, « Par ailleurs, en changeant vos croyances, vous découvrirez qu’il n’y a pas de limites.  Il y a seulement des contraintes mentales. » Le cours en éveil (2011 : 42) L’autosuggestion nous permet de mettre certaines croyances en lumière afin de mieux les remplacer par d’autres qui nous sont plus bénéfiques.

 

Amélioration des revenus :  Ceci a été le premier domaine de ma vie où j’ai voulu appliquer l’autosuggestion, car cela me donnait un résultat concret.  J’ai donc commencé en me répétant certaines phrases au réveil ainsi qu’avant de dormir.  Puis je me suis mise à dire ces affirmations aussitôt que j’en avais la possibilité au courant de la journée.  Au fur et à mesure que mon subconscient acceptait l’idée d’avoir plus de revenus, certaines croyances limitantes ressortaient, certaines que je connaissais déjà, d’autres que je ne savais pas que je portais en moi.  Cela mettait en lumière que toute croyance a un impact sur notre vie, même celles qui nous semblent banales et insignifiantes.

 

Pour ma part, je me suis mise à avoir de nouveaux clients qui eux-mêmes me référaient à d’autres personnes.  Je me suis mise à rencontrer des personnes qui avaient des moyens financiers plus élevés, des chefs d’entreprise qui voulaient le bien de leurs employés par exemple.  Ces nouveaux clients prenaient le temps de venir me consulter pendant la journée, alors qu’auparavant, j’avais la croyance que la clientèle était disponible majoritairement de soir ou bien de fin de semaine.

 

Voici quelques croyances par rapport à l’argent et au travail qui étaient en moi avant d’appliquer l’autosuggestion :

 

–  Les entrepreneurs doivent travailler sans arrêt.

–  Les travailleurs autonomes doivent adapter leur horaire à ceux de la clientèle.

–  Il faut choisir entre faire de l’argent et être maman.

–  Il est difficile de gagner beaucoup d’argent.

 

Et voici quelques affirmations provenant de sources diverses qui ont reprogrammé mon subconscient :

 

–  Je me donne la permission de prospérer.

–  J’attire facilement l’abondance dans ma vie.

–  Plus je dépense d’argent, plus j’en reçois.

 

Il existe évidemment une multitude de croyances et d’affirmations qui permettent de s’en défaire.  L’important est de répéter des affirmations au point de les ressentir comme une profonde vérité.  Ainsi, notre réalité change pour le mieux!  « Nous magnétisons dans nos vies ce que nous entretenons dans notre esprit.  Chaque personne, tous les événements de notre vie sont là parce que nous les y avons attirés par nos pensées. »  L’éveil Métaphysique (2007 : 106)

 

Changements corporels visibles : Insatisfaite de mon apparence physique depuis plusieurs années, j’ai décidé que le temps était venu de prendre soin de moi.  J’ai donc commencé à réciter des affirmations concernant mon poids, car je voulais maigrir. De fil en aiguille, les affirmations se sont transformées pour attirer à moi la santé, puis le bien-être, la nourriture, l’activité physique… Tout ce qui impactait mon corps commençait à être pris en compte, et chaque élément devenait de plus en plus important.  Devenir la meilleure version de moi-même, du moins physiquement, devenait une priorité dans ma vie.  Plus j’avançais sur ce chemin, plus je me suis rendu compte qu’il s’agissait, à la base, de simplement m’aimer.  De m’accorder du temps.  De me prioriser.  Ainsi, plus je pratiquais l’autosuggestion, plus les blocages et les croyances que j’avais ont commencé à se libérer :

 

–  Je dois penser à tout le monde avant de pouvoir penser à moi.

–  Les personnes maigres ont l’air malades.

–  Je n’ai pas le temps de m’entraîner.

–  Je n’ai pas le temps de bien manger.

–  Je suis trop fatiguée pour prendre le temps de bouger.

 

Ces croyances m’ont quittée grâce à des affirmations dans ce genre :

 

–  Je perds du poids car je m’aime.

–  Chaque jour, ma santé s’améliore.

–  Je suis saine et parfaite.

–  Je me donne la permission d’avoir le corps que je veux.

 

Ce qui est incroyable avec l’autosuggestion, c’est le sentiment d’amour que l’on peut s’apporter et ce sentiment va nous pousser à passer à l’action, et c’est le début d’une roue : plus on s’aime, plus on prend le temps de prendre soin de soi, et plus on va s’aimer, donc nous prenons du temps pour soi…  C’est un cycle merveilleux, même s’il peut y avoir quelques réticences, car cela peut provoquer certains inconforts.  Comme le mentionne Louise Hay, : Le nettoyage de notre mental après des années de laisser-aller avec des pensées négatives peut se comparer à un bon régime adopté après toute une vie d’erreurs alimentaires. Les deux sont susceptibles de provoquer des crises.  Tous deux sont des moyens de guérison efficaces.  Lorsque vous modifiez votre régime alimentaire, votre corps commence à éliminer des toxines et vous risquez de vous sentir mal pendant un ou deux jours.  Il en va de même lorsque vous décidez de changer vos schémas mentaux; les choses peuvent vous paraître aller plus mal pendant un certain temps. » Transformez votre vie (2019 : 74)

Ce faisant, le respect que l’on se donne en se priorisant a été pour moi le début du bien-être. Car me prioriser ne signifiait pas négliger mes enfants ou mon conjoint, cela signifiait seulement que j’avais le droit de m’accorder du temps tout comme j’en accorde aux personnes que j’aime.  Donc, à force de prendre du temps pour moi, je me suis sentie mieux au quotidien, et tout le monde en bénéficiait.  Bien qu’il y ait encore du travail à faire (il y en a toujours), je suis de mieux en mieux dans mon corps, mais également dans ma tête.  Ce qui est important, c’est que ces affirmations nous poussent à l’action, cela nous pousse à changer nos mauvaises habitudes, cela nous permet de voir les opportunités qui nous étaient impossibles ou impensables à voir avant.  Pour ma part, le seul désir de vouloir perdre du poids m’a entraîné dans un tourbillon de nouvelles habitudes saines, tel que prendre le temps de bouger, prendre le temps de faire à manger (activité qui me déplaisait au plus haut point avant), ne plus perdre de temps sur les réseaux sociaux, car j’étais fatiguée, mais au contraire prendre le temps de méditer et de bouger, bref prendre le temps de visualiser ma nouvelle silhouette lorsque je prononçais des affirmations étaient un agréable moment.  Et plus que tout, j’avais au fur et à mesure que les journées passaient, non seulement envie de bouger, mais besoin de bouger.  L’autosuggestion crée de belles pensées, et il faut savoir s’écouter et agir!

 

Amélioration des douleurs physiques :  Bien évidemment, en bougeant davantage, certaines douleurs s’estompent, mais il y a de ces blessures qui ne partent pas pour autant.  Ce sur quoi nous mettons notre attention est très important.  Au lieu de mettre de l’énergie sur les blessures, il est primordial de mettre de l’énergie, de l’attention et de l’amour, sur la santé! L’autosuggestion est très efficace par rapport à tout ce qui concerne la santé.  Plusieurs écrits ont été rédigés pour répondre aux significations métaphysiques des problèmes physiques.  Ceci est, selon moi, un aspect très intéressant de la métaphysique : chaque douleur, chaque maladie a une signification.  Et toujours selon moi, il est indéniable qu’il y ait un lien entre l’état mental et l’état physique d’une personne.  Trouver la signification de nos blessures permet bien souvent de réveiller en nous le traumatisme qui les ont créées.  Il arrive cependant que nous n’ayons aucun souvenir, aucune idée de ce qui a pu provoquer de tels dommages.  Mais, dans les faits, ce qui importe, est de reconnaître que nous avons participé à construire ces blessures, ces maladies.  Il est nécessaire de nous responsabiliser et ainsi, de faire quelque chose afin d’y remédier.  L’autosuggestion est très utile, cela nous permet de changer notre subconscient dans le but d’accéder à la guérison, ou du moins, à l’amélioration de notre état.  Il n’est pas nécessaire de se culpabiliser; nous n’avons pas appris, pour plusieurs d’entre nous, que nous créions tout cela.  Par contre, lorsque l’on est en souffrance, il est impératif de prendre la responsabilité de sa vie, et surtout, d’avoir la foi que notre subconscient sait comment nous guérir.  Si nous sommes aptes à nous rendre malade, il est normal que nous sachions comment nous rétablir.

La foi contient un élément curatif essentiel à notre guérison.  « Si chaque maladie est un effet et doit d’abord avoir une cause subjective, neuf fois sur dix, la cause subjective n’est pas consciente dans la pensée de la personne, mais résulte peut-être, en grande partie, de certaines combinaisons de pensées qui, en se rassemblant autour et à travers l’individu qui les a entretenues et reçues, commencent à opérer à travers lui.  Certaines combinaisons de pensées, en s’unissant, produisent une manifestation déterminée. » La Science du Mental (2013 : 126)

 

J’ai ainsi expérimenté l’autosuggestion sur plusieurs de mes blessures physiques, qui n’allaient pas nécessairement en s’améliorant au fil du temps.  Bien que je fusse capable de me soulager par moi-même, je n’arrivais pas à atteindre la guérison.  J’ai alors répété certaines affirmations pendant un mois, et même si je ne voyais pas de changement au niveau physique, je pouvais ressentir que je me rapprochais du but; je me suis donc mise à la recherche d’autres affirmations qui me faisaient plus « vibrer ».  Et encore, et encore.  Pendant près de six mois, j’ai testé certaines affirmations tout en sachant que celles que je récitais n’étaient pas inutiles : des croyances, des blessures émotionnelles, des blocages, commençaient à me quitter.  Je constatais une amélioration de certaines blessures physiques.  Puis, j’ai trouvé un amalgame d’affirmations qui a tout précipité.  Tout le travail effectué jusque-là m’avait permis d’être plus réceptive à mon corps et aux pensées qui me traversaient.  Voici ces formidables affirmations :

 

–  Je me donne la permission d’avoir une santé parfaite.

–  Je suis guérie de toutes mes blessures et maladies, et j’en remercie la vie.

–  Le pouvoir curatif infini en moi s’occupe de tout.

–  Je suis parfaitement saine dans mon corps et dans mon esprit.

–  Je suis reconnaissante pour ma santé, et je m’aime.

–  Merci, merci, merci!

 

Les pensées et émotions qui m’avaient conduites à ressentir plusieurs douleurs à plusieurs endroits différents provenaient de différents événements survenus tout au long de ma vie.  J’ai dû regarder et véritablement voir ces blessures, les accueillir, les accepter et en prendre la responsabilité.  Car ces événements extérieurs à moi avaient été créés par moi; notre réalité extérieure est le reflet de notre réalité intérieure.  Le pardon est essentiel.  Pour accéder à cette paix et ce pardon profond envers moi-même et les autres, pour des événements, des pensées et des émotions dont je me souvenais et certains dont je ne comprenais pas les origines, j’ai utilisé les affirmations tirées du Ho’oponopono.  Il s’agit d’une méthode hawaïenne ancestrale qui consiste à répéter quatre affirmations :

 

–  Je suis désolée.

–  Pardonne-moi s’il-te-plaît.

–  Merci.

–  Je t’aime.

 

Ces simples phrases permettent d’aller libérer des mémoires souvent inconscientes qui nous briment, d’où la pertinence de réciter ces affirmations!  Car, comme l’explique Joe Vitale, « Il accueille l’émotion et il l’offre au Divin, comme s’il offrait une prière. (…) Il dit : « Je t’aime », mais il ne s’adresse pas à lui-même, il ne s’adresse pas à la personne à qui il ne pense ni à son dossier.  Il le dit au Divin.  Il le dit à Dieu.  Il dit : « Je t’aime » et, ce faisant il entre dans un état de lâcher-prise. » Le cours en Éveil (2011 : 89)   Le travail est grandement facilité avec cette méthode, cette foi que le Divin (Dieu, la Source, la Vie…) veut le meilleur pour nous et nous veut que du bien, tout en prenant responsabilité de notre situation.

 

 

Retour de la joie de vivre : Appliquer l’autosuggestion afin d’être davantage dans la joie m’a aidé à ressentir de la gratitude envers la vie à un point que je pensais inatteignable.  Avec des hauts et des bas, des responsabilités et des obligations de toutes sortes, la lassitude peut facilement se glisser dans le quotidien.  Il peut s’en suivre une perte de passion tant au niveau professionnel que pour la vie en elle-même.

 

« Il n’y a de blocage à votre bonheur que dans votre pensée et dans votre imagerie mentale. » La puissance de votre subconscient (1981 : 157) Cela mettait donc en place un système de bonheur puissant.  Lorsque l’on comprend réellement que ce qui se passe à l’extérieur de nous est le reflet de notre monde intérieur, et que l’on veut arranger les choses, l’autosuggestion est d’une aide incommensurable.  Cela nous aide à passer à l’action et ainsi sortir d’un cercle vicieux de détresse.  Et l’action est la meilleure façon de retrouver le bonheur.  L’autosuggestion permet de passer à l’action qui ensuite permet d’aller mieux, et permet de ressentir de plus en plus de gratitude.  Ainsi, le bonheur est à nouveau accessible.  Comme l’a dit Gandhi : « Prends soin de ton corps afin que ton âme ait envie d’y rester. »  Réciter des affirmations pour accueillir plus de bonheur est un outil fantastique :

 

– La vie est belle!

– Je mérite d’être heureuse.

– L’Univers me supporte.

– Ma vie s’embellit de jour en jour.

– Je suis bien dans mon corps et dans mon esprit.

 

En résumé, lorsque nous voulons améliorer un domaine spécifique de notre vie, cela impacte non seulement ce domaine précis, mais tous les aspects de notre vie en sont également touchés.  Rien n’est isolé : l’amélioration de la santé va nécessairement avoir une influence sur notre rapport à la nourriture, qui va impacter notre silhouette, qui va impacter notre confiance en nous, qui va donc impacter nos rapports aux autres, qui va impacter dans notre travail et donc toucher nos finances, etc.  Comme le mentionne Louise Hay, « Commencez par le domaine qui vous attire le plus.  Les autres suivront pratiquement d’eux-mêmes. »  Transformez votre vie (2019 : 73) L’autosuggestion a cet incroyable pouvoir d’améliorer la vie en général, si c’est ce que nous souhaitons.

Il est fondamental d’avoir des objectifs bien définis : sans ceux-ci, nous n’avançons pas.  Lorsque ces buts sont bien fixés, il suffit de se répéter certaines affirmations aussi souvent que possible afin de reprogrammer notre subconscient afin de vibrer à la même fréquence que ce que nous désirons atteindre.  Ce faisant, le sentiment de bonheur et de réussite sera ressenti en nous, notre cœur sera alors apte à vibrer mieux.  Nous sommes des aimants.  Nous attirons à nous ce que nous sommes, ce que nous vibrons.  Il faut discipliner notre état d’esprit et nos croyances.  Nous sommes véritablement guidés par notre subconscient, par le Divin, qui ne veut que notre bien. 

Baweye Mayoum Barka Msc.M.

REPONSE AUX QUESTIONS EXISTENTIELLES DE VIE PAR LA PRATIQUE DE LA MEDITATION

Avant de commencer la rédaction de ce mémoire, j’ai commencé par la lecture des 2 volumes de cours du 2e cycle (Maitrise) pour bien comprendre les concepts et définition des mots ainsi que les différentes techniques à utiliser dans la Métaphysique Appliquée.

En plus de la lecture des thèmes dans le chapitre.2, j’ai travaillé sur les questionnaires que j’ai partagés en ligne avec certains collègues que je connaissais et eux leurs tours ont partagé dans leurs réseaux de contact afin d’avoir leur retour sur le sens de la vie, est ce que les questions existentielles de vie venaient à leur esprit ? Est-ce qu’ils ont atteint leurs objectifs dans la vie ? Sont-ils satisfaits du niveau actuel de la vie atteinte ?

Toutes ces questions, sont celles que toujours je me suis posé depuis la fin de mes études de cycle universitaire, dès le premier que j’ai été en contact avec le livre de Wallace sur la science de la richesse.

Les 2 volumes du cours en Métaphysique Appliquée m’ont permis de comprendre l’esprit, la pensée, la méditation comme base fondamentale, à 90% la pratique de la métaphysique et comment et quand utiliser ces connaissances dans la vie pratique pour s’aider soi-même ou les autres.

La lecture des cours et les ouvrages métaphysiques ont créé en moi un déclic et besoin ardent de changer et de réaliser mon aspiration au point de tomber et conduit à une consultation psychologique en novembre 2021, j’ai rencontré un Psychologue qui a trouvé en moi des troubles en lien avec les questions existentielles et que pour la plupart du temps, cela arrive autour de la quarantaine, mais j’ai fait le choix de partir en Inde pour 10 jours de pratique de la Méditation VIPASSANA. Je peux avouer que je n’ai pas trouver de réponses à ce que je cherchais, mais je peux dire que ce fut une belle expérience et l’envi de garder un lien avec la pratique Orientale de la Métaphysique, peut-être que c’est ce que mon for intérieur désire pour la réalisation parfaite.

Au fur et à mesure que je lisais des ouvrages sur les pratiques de Yogas et sur la méditation, je sentais de plus en plus le désire d’aller plus loin, comme une soif intense en moi pour cette réalisation et mettre ceci aux bénéfices des autres, mais j’avais aussi peur de me jeter dans le néant, il faut tout abandonner et partir loin de chez soi et avoir une persévérance dans la pratique d’une technique jusqu’à sa maitrise parfaite.

Faire le choix des questions complexes de toute une vie, je suis persuadé, que la synthèse des écrits de ceux qui ont fait l’expérience et tracés le chemin ainsi que le début de mes aventures me serviront de leviers puissants pour atteindre mon objectif de réalisation. Mon plus grand rêve est celui de devenir un guide spirituel, pas refugié dans un monastère ou dans une église mais comment utiliser les enseignements riches pour le plus grand nombre des personnes à travers toute la sphère terrestre. Ces connaissances doivent servir de moyen à influencer la gouvernance dans les pays du tiers monde, précisément, l’Afrique subsaharienne qui en elle seule regorge le 2/3 de la souffrance sur le globe terrestre. L’instauration de la paix mondiale ne doit pas être une question lexicale, car elle doit traduire un comportement et ceci passe par l’expérience de la paix, car celui qui a expérimenté la paix véritable aimerait bien la partagée avec le reste de l’humanité, finir les conflits dans plusieurs endroits de l’Afrique centrale surtout dans la région du sahel.

Durant mon parcours professionnel de travail humanitaire, j’ai vu des souffrances des individus, familles et tout un peuple. A chaque fois que je me trouve dans un camp de déplacé ou même dans un village reculé de ces pays, la question qui me revenait le plus à l’esprit, c’est la destinée de chaque personne que je croisais, car je commençais à croire à la théorie de réincarnation ou notre vie actuelle est le résultat de notre vie antérieure. Ce fut ma soif et elle l’est encore aujourd’hui de comprendre quelles étaient mes vies antérieures ?  Et comment améliorer la vie future ? Ce ci remet tout en cause sur le travail acharné, j’ai fait comprendre à un collègue un jour que sa vie actuelle est le résultat de sa vie antérieure même si ce jour un frère a pu partager son expérience de réincarnation, mais la question reste cependant avec tout le sens qu’il faut trouver les réponses.

La difficulté est que ces pratiques rentent inaccessible en Afrique, même si cela existe, très peu des maitres qui pourront être aux services de la jeunesse ou conseillers pour les dirigeants Africains. J’étais aperçu comme une star lors de mon voyage à Bodhgaya, il était difficile même rare de voir un Africain dans ces contrés.

De fois, je me demandais, comment ces découvertes ont été tardives dans ma vie ? Tout ceci pouvait arriver soit à la fin de mes études de médecine ou encore même bien avant, peut-être que maintenant je suis en train de parcourir le monde pour enseigner et partager la connaissance des lois métaphysiques qui gouvernent notre vie. Dans les hôpitaux, j’ai vu des époux arrachés aux épouses vice et versa, des enfants aux mères et les mères aux enfants sans puissance, des larmes, des tristesses, certaines aux portes de la mort dans le chagrin, le regret. Dans le livre de vie et de mort Tibétaine, la dissolution du corps doit être accueilli avec joie et non la peur et le chagrin. L’auteur a exposé dans son livre, les différentes techniques de compréhension et d’accompagnement de la personne vers ce processus de dissolution. Des morts, j’en vois par centaine par jour, soit dans les structures de soins ou même dans la ville due à la criminalité ou des conflits intercommunautaires autour des questions fonciers ou encore querelles tribales, ethniques.

Et si l’esprit individuel provient de l’Esprit unifié, je me demande quel est le but de tel acte d’atrocité et quel serait le remède a adressé ? Le plus grand service que je peux me rendre est que cette thèse me serve de base pratique et de la maitrise des lois métaphysiques pour me servir et servir d’autres et que le chemin de la paix, la gouvernance consciente soit à la portée des dirigeants du pays des tiers monde commençant par l’Afrique subsaharienne.

Et si seulement, chacun de nous peut comprendre le but de la vie et si nous sommes une extension de la vie des autres, la gouvernance en Afrique va changer pour le plus grand bonheur de la population. Les gens pensent que la vie est éternité, l’esprit de vengeance, de la calomnie, haine, trahison et de criminalité sont le quotidien d’un plus grand nombre. Il serait bien les dirigeants mais le peuple comprenne, déjà que la présente est le résultat de la vie passée et que le futur dépend de la vie actuellement ainsi une justice équitable règnera et le cœur sera affranchi.

Depuis la nuit des temps et les récits racontent que chaque peuple sur la terre a de technique d’alignement avec les lois universelles, soit l’invocation des ancêtres, ou la fusion totale avec l’absolue, mais ces connaissances sont restées entre les mains d’un petit groupe d’individu appeler des initiés. Certains peuples ont réussi à perpétrer le lien jusqu’à notre époque actuelle et d’autres ont perdu ces liens.

ARYEH KAPLAN dans son livre “Jewish Méditation” disait que les juifs avaient la pratique de méditation fort longtemps, mais cette pratique était perdue au cours de l’évolution de l’histoire du peuple Juif.

Dans ce chapitre, Je vais commencer en premier lieu par l’analyse des questionnaires administrées au sein de la population et faire le résumé des différentes tendances et courant de pensée sur les questions existentielles de vie à partir des ouvrages et articles lus. Puis je parlerais de la médiation, comment méditer ? les différentes techniques de méditation, mon expérience novice de la méditation et comment la pratique de la médiation pourrait aider à répondre aux questions existentielles de vie ? A la fin je ferais de recommandations aux regards de toutes ces connaissances.

1.1      Exploitation des questionnaires administrés

Je n’avais pas défini au préalable la taille d’échantillon nécessaire, mon objectif était d’administré le questionnaire à 100 personnes ; Au total 70 personnes ont donné leurs points de vue sur les questions existentielles posées dans le cadre de cette thèse et nous allons exploiter les réponses apportées.

Sur les 70 personnes, la plus grande partie des personnes qui ont acceptées de répondre aux questionnaires étaient des hommes soit environ 84,3%

Ceci n’a rien avoir avec l’intérêt portée à la question ou encore si les femmes ne sont pas préoccupées par les questions existentielles de vie, les questionnaires éteint équitablement partagées aux hommes et femmes.

La moyenne d’âge est de 37,8 ans [21, 58], dont les personnes de 35 ans étaient les plus nombreux, environ 13%, suivi des personnes de 30 ans. On peut dire qu’à cet âge qu’on cherche plus l’orientation et la réinsertion dans la vie professionnelle commence et la jeunesses a besoin plus d’orientation, les personnes de plus de 45 ans se préoccupaient moins peut-être dû à la perte d’espoir ou encore la vie a complétement échappé et qu’il n’ y a pas d’autre possibilité de se réorienter et qu’il faut se contenter de la vie actuelle et gérer la fin vu que dans la plupart des pays à faible revenu , principalement au Tchad, l’espérance de vie est d’environ 52,78 ans.

Ce qui est intéressant, environ ¾ des personnes ont un emploi, que cela soit décent ou pas, ce qui permet au moins à la contribution de chacun dans la vie sociale, de se faire respecter ou encore d’exprimer son accomplissement.

Les professionnels les plus représentés sont les médecins, environ 20,3%, peut-être que moi-même étant médecin et ce fut le premier cercle ou réseau auquel les questionnaires ont été envoyées, tous les autres corps de métier sont représentés à moins de 5%.

Sur la question, qu’est ce vous voulez dans la vie, sur les 70 personnes qui ont participé à l’enquête, 58 personnes ont répondu et par ordre de désir de ces personnes, le bonheur, est l’aspiration pour la plupart des répondants, suivi de la famille et la stabilité financière, professionnelle et spirituelle.

Sur la question de satisfaction de la situation actuelle, la réponse est surprenante, seulement 41,4% des personnes ont répondu oui, pourtant plus de ¾ des répondants sont employés. ¼   ont dit de ne pas être satisfait du tout de la situation actuelle.

La question suivante renforce la théorie selon laquelle, plus de 90% des personnes font ce qu’ils ne veulent pas dans la vie, la figure suivante démontre cela, seulement environ 13% des personnes ont répondu que leurs objectifs de la vie ont été atteints. Aujourd’hui, je me pose la même question si mes objectifs dans la vie ont été atteints et si je fais les choses que j’ai envie de faire dans la vie pour le bien du plus grand nombre de la population et mon aspiration celui de servir de pont entre l’esprit individuel et la conscience universelle.

Ce qui est intéressant, c’est le regard porté par les personnes qui ont participé à l’enquête, c’est l’approche face aux questions existentielles de vie fondamentale, même si elles ne sont pas abordées de la même manière, elles sont sous différentes formes lexicales mais abordent le même problème.

Environ 43% veulent savoir ce qu’ils vont dans la vie, même si une partie pense que leur objectif dans la vie est atteint et 75% ont d’emploi pour marquer leur place dans la société.

La question de destination finale est une préoccupation pour environ 41%, ce qui renvoi à la question de la mort, l’enfer et le paradis ou encore pour ceux qui croient à la réincarnation pour comprendre la vie précédente et celle à venir.

Il faut noter qu’environ 90% des personnes ont reconnu la nécessité de se poser ces questions à un moment de notre existence.

Je ne dirais pas que je suis réconforté dans ma position à l’idée que je ne suis pas le seul à porter ces questions, mais c’est une préoccupation majeure pour l’humanité pour celui ou celle qui veut donner sens à sa vie et la nécessité fondamentale de trouver des réponses à ces questions de son vivant.

1.2      C’est quoi la méditation ? Pourquoi Méditer et mon expérience des différentes techniques

Dans cette partie, je parlerais de ma compréhension du mot méditer et souligner les points de vue des autres ou maitres qui ont à travers le temps approfondir les techniques et partager avec le reste de l’humanité.

En français, le mot méditer ne dit rien de particulier, comme je l’ai souligné en haut comment je comprenais ce mot et un exemple particulier que j’avais vécu en posant la même question à une cousine qui est diacre dans une Église évangélique, engagée depuis plusieurs années avec beaucoup de charge au niveau de l’Église pour conduire les âmes, mais ne pouvait pas exactement me donner la vraie définition du mot méditer. Attentivement, on comprend que, c’est la description d’une dimension et que c’est une qualité de vie, c’est un processus et il faut bien la mener. Si nous désirons une qualité de la vie, nous n’allons pas nous focaliser sur ce que nous voulons de la vie ou les aspects de la vie, nous devons penser à la source, tourner vers le processus qui soutient ces qualités de la vie : la joie, la richesse, la santé ou encore l’argent. En résumé, on peut dire qu’il serait nécessaire de se tourner vers comment les choses dont on aspire arrive à la réalisation et la source ou émane ces choses, car le plus souvent, et c’est ce que je vie, est ce que je suis capable de comprendre et supporter les circonstances de  la vie que je vie, comme disait Planton dans sa théorie de dualisme, le monde des idées est réel, car le monde est le reflet des mondes des idées ou nous étions avant contemplant ces choses mais à la naissance on reste avec l’idée confuse de ces choses.

Comment méditer ? Cultiver son corps, son esprit et énergie à une certaine maturité, il y a plusieurs façons de méditer, comme un dicton, il y a plusieurs dons mais tous opèrent pour le perfectionnement du même esprit, quel que soit la technique, le plus important est la pratique assidue et déterminée.

Si on veut se présenter devant le créateur, nous devons laisser de côté nos idées, car nous sommes les produits de son idée, car ceci est la naissance de la méditation, car c’est la compréhension de notre limite.

Selon, RYEH KAPLAN dans son livre “Jewish Meditation” Pour de nombreuses personnes, le terme de méditation évoque l’image d’une personne assise dans la position du lotus, les yeux fermés, dans une concentration sereine. D’autres associent la méditation à la sainteté et à la spiritualité.

La méditation consiste à penser de manière contrôlée. C’est décidé exactement de la manière dont on souhaite diriger son esprit pendant un certain temps, puis le faire. Je ne saurais ici vous dire exact combien de type ou de technique de méditation existe, mais je vais souligner les plus importants dont je suis venu à croiser. Dans le livre de Krishnamurti, l’une des premières étapes de la méditation consiste à apprendre à ne pas considérer nos pensées comme allant de soi.

RYEH KAPLAN dit que L’esprit est donc composé de deux parties, l’une sous le contrôle de la volonté consciente et l’autre non. La partie de l’esprit sous le contrôle de la volonté est appelée conscience. Le processus de pensée lui-même est également contrôlé dans une large mesure par l’inconscient, mais il peut également être contrôlé par l’esprit conscient. Le méditant expérimenter apprend à penser ce qu’il veut, quand il veut. Il peut toujours contrôler la situation et résister aux pressions psychologiques qui agissent sur le subconscient. La prière juive la plus ancienne et la plus importante est le Chema. Le Chema est plus qu’une simple prière. C’est une déclaration de foi fondamentale pour les Juifs. C’est l’une des premières choses qu’un juif apprend lorsqu’il est enfant, et les derniers mots qu’il doit prononcer avant de mourir. Tout au long de la vie, il faut dire cette phrase deux fois par jour, sans faute.

De mon parcours et à travers les différentes ouvrage lus, les techniques de méditation conduisent au dénominateur commun qui la connaissance l’établissement de contact avec les vérités les plus ultimes.

Les réponses possibles se situent à la limite de la conscience, mais sont si subtiles qu’elles ne peuvent être discernées par la statique de l’esprit. L’une des vérités les plus insaisissables est la connaissance de soi.

En général, nous ne nous voyons qu’à travers un voile épais, celui de l’ego. C’est pourquoi il est impossible de se voir comme les autres nous voient. L’une des utilisations les plus puissantes de la méditation est d’acquérir une conscience du spirituel.

Dieu est totalement ineffable, au-delà des domaines de la pensée et de la parole. Pourtant, s’il est difficile de parler de Dieu, il est relativement facile de lui parler. Par nature, un principe abstrait n’est pas spatial et existe donc en dehors de l’espace.

J’avais la compréhension parfaite de toutes les lois métaphysiques exposés dans les cours, de fois je les résistais même par cœur au point d’en expliquer à d’autres qui me suivaient avec attention, mais je me demandais pour quoi ces lois ne fonctionnaient pas pour moi ou encore n’avaient pas d’impact sur ma transformation radicale ? il ne s’agit pas question de doute, je ne doutais pas de ces lois, mais une chose certaine, quelque chose ne fonctionne pas et je dois chercher la réponse.

De ce qui ressort de mes observations et des lectures, comme mentionner dans le volume du cours Méditation Mystique et dynamique, il y a des obstacles psychiques à la méditation et ceci n’est nécessaire dans prendre compte lors que nous commençons ce voyage ou l’aventure. Je ne citerais pas ici les obstacles, mais j’ai fourni un effort d’en identifier celles qui me concernent le plus.

Le doute

Je peux considérer le doute comme manque de foi, j’ai souligné dans un paragraphe plus haut de la citation empruntée du cours, que la foi permet au mental de se concentrer facilement sur le sujet et ceci peut être considérer comme premier pas vers l’illumination. Je ne dirais pas que c’est le doute pour mon cas, mais plutôt le désir d’aller plus vite, comme magique, pour donner suite aux pressions et la soif de transformation rapide sans pourtant être prêt. J’ai compris à travers les différents ouvrages et la pratique, la nécessité de se débarrasser des impuretés de mon mental mais aussi les conditions de ma naissance et de ma vie antérieure, c’est ce que le professeur de VIPASSANA m’a dit lorsque j’étais au centre, le seul conseil donné, c’est de continuer la pratique.

La peur

Je ne sais pas ce qui m’a été inculqué depuis mon enfance. Est-ce que j’ai souffert de mon enfance, humilié, rabaisser ? J’ai grandi aujourd’hui avec cette peur sous une autre forme, quel sera mon sort si je quitte aujourd’hui mon travail, ma famille pour me concentrer sur cette pratique ? comment prendre charge de la famille, la pauvreté dans laquelle j’ai vécu, qu’est-ce qu’il faut faire pour éviter ceci à mes enfants ? Quel emploi Quel travail faut-il faire ? avec quelle rémunération mensuelle pouvant couvrir les besoins de ma famille ? Comme mentionner dans le manuel, la peur est un sérieux obstacle sur le sentir de la Réalisation Divine. Celui qui veut se réaliser, doit mettre la peur de côté et commencer le voyage avec toute confiance et ouverture d’esprit à la conscience divine. Celui qui est à la recherche de la vérité, devrait cesser de penser qu’il lui est impossible de sortir de ses difficultés, la peur augmente les difficultés et crée des barrières à toute nouvelle idée pour l’accomplissement du but.

Recommandations

En voici quelques recommandations que je veux bien partager après exploitation des différents concepts, mes expériences en différentes techniques de méditation et le point de vue des personnes que j’ai soumis les questionnaires sur les questions existentielles de vie :

La peur : la peur doit être complètement bannie du sentier de celui qui cherche à se réaliser avec des pensées fonder sur l’ABSOLU, de la dévotion envers une pratique et le courage. Peu importe nos faiblesses ou imperfections, il va de soi que ceci soit normal pour un être humain, c’est normal, mais il faut faire confiance aux lois de la nature en les appliquant dans sa vie quotidienne.

Le doute : dans un des volumes du cours de la métaphysique il écrit que la foi est le premier pas de la richesse, l’élément qui nous permet de communiquer avec les forces cosmiques et l’intelligence divine. La foi renforce la connaissance de soi et permet la purification du mentale et accélère le processus de revitalisation, peu importe la technique de méditation pratiquée et l’accès aux réponses de questions existentielles.

La pratique d’une technique : La pratique avec assiduité et détermination est la clé pour la réussite de la maitrise d’une technique. Il n’y a pas une durée définie pour accéder à la lumière, ceci dépend de chaque individu est les prédispositions de chacun de nous, des impuretés dans le mental et les conditions de notre naissance, c’est pourquoi le mot assiduité prend tout son sens. Sauter d’une technique à autre ne facilite pas les choses, c’est pourquoi il faut se donner avec détermination à la pratique et éviter d’utiliser plusieurs techniques car ceci revient à avoir chaque pied dans 2 barques séparées.

La dévotion : il est important de mettre l’accent sur ce mot, car elle prend tout son sens et j’ai vu cela dans la pratique de la MT. L’attachement sincère et fervent à son maitre est très important pour garder l’originalité de la technique, sa pureté et le lien avec les ancêtres qui ont pu la préserver jusqu’à nos jours. Car c’est le maitre qui introduit l’élève dans la dimension de son existence et l’accompagne dans le savoir. C’est pour quoi pour réussir sur ce chemin de réalisation, il est important de se trouver un maitre et être attaché à se maitre.

L’environnement : Siddhârta Gotoma disait qu’il faut toujours trouver refuge en Buddha, Sanga et Dharma, mais le plus important c’est le Dharma. Le fait d’être dans un environnement ou il y a plusieurs méditant, ceci crée une onde de cohérence, accélère et accompagne l’acquisition de la technique pour certains novices, comme l’exemple de mon voyage en Inde qui m’a permis d’acquérir certaines disciplines notamment la position lotus et le réveil quotidien à 4h du matin. La présence d’autre méditant qui peuvent accompagner dans la compréhension de la technique et progresser dans la certitude. Le refuge en Dharma est le plus suprême, c’est-à-dire se mettre aux lois universelles pour être enseigner, guider. Je trouve nécessaire pour un étudiant de la métaphysique de commencer tout d’abord à connaitre les 10 lois de métaphysiques énoncées dans le cours 1ère année et la connaissance des obstacles psychiques à la Méditation comme première étape sur le chemin de la réalisation ainsi la pratique de la méditation serait facile et la dimension supérieure sera accessible plus facilement ainsi come Siddhârta Gotama a pu avoir accès à ses 1000 réincarnation et sa réalisation. Bien avant Siddhârta Gotama, la méditation existait déjà en Inde et plusieurs sages le pratiquaient ainsi de nos jours il est possible pour tous et chacun dont le désire est de faire ce voyage. C’est le seul moyen ou chemin qui nous prépare à l’accès direct aux réponses des questions existentielles. Le grand Mystique Jésus disait, Nul ne peut atteindre le Père sans passé par moi, car je suis le chemin, la vérité et la vie » Il est important d’avoir un esprit pur pour la réalisation de soi, c’est-à-dire se dégager des impuretés du mental et il n’ y a qu’une seule voix, c’est la pratique de la Méditation peu importe selon la technique à la disposition et la capacité de chacun ainsi que la détermination de suivre avec assiduité en tenant compte de l’environnement qui de fois à une influence considérable sur notre volonté à aller au bout.

Pour celles ou ceux que les questions existentielles ont importantes, car personne ne peut atteindre le niveau d’accomplissement parfaite sans se connaitre, j’arrive à croire les affirmations comme quoi seulement 5% des personnes vivent la vie qu’il désire vraiment, alors qu’en est-il des autres 95% ? je m’inscris de même parmi les 95%.

Pour la première fois lorsque les questions existentielles de vie traversaient mon esprit réellement, car je commençais à ne pas me plaire au travail que je faisais même si cela me donnait un salaire acceptable mai je sentais en moi que quelque chose manquait et que je ne suis vraiment pas aligner à moi-même ainsi les questions sur l’éternité, la mort jusqu’à l’arrivée de la Pandémie du Covid19 ou j’ai découvert sur l’internet l’adresse de l’Institut International de la Métaphysique Appliquée.

Au début je ne croyais pas à l’existence d’un centre de formation en science Métapsychique, mais je me suis inscrit sans hésiter ainsi dans les semaines suivantes les cours m’ont été envoyés avec ma carte d’adhésion comme membre. Comme vu, le résultat de mon enquête, 90% de personnes qui ont participé à l’enquête ont répondu qu’il est important à un moment de la vie de se poser des questions sur leur existence et le résultat a montré même ceux qui pensaient pouvoir atteint leur objectif dans la vie en réalité plus de la moitié n’étaient pas satisfait. Pour la réalisation de l’esprit, il est aussi autant nécessaire de bien prendre soin de son corps physique, car le corps physique est le véhicule par lequel l’esprit se sert pour l’accomplissement de ses désirs, il n’est pas question de se malmener, une privation ou encore s’infliger une peine comme le fait certains adeptes des religions.

Le corps lui-même réagira en fonction de quelques choses qui n’est pas compatible à l’exemple si nous prenons une nourriture qui n’est pas bonne pour notre santé, soit, les intestins réagiront par une forme de diarrhée ou encore les défenses naturelles du corps réagiront par une réaction allergique pour nous dire que ce qui est ingéré n’est pas bonne pour nous et nous devons être attentif à tout cela. Entretenir son corps sur le plan physique permet aussi de maintenir une bonne santé mais aussi la découverte des centres psychiques et énergiques qui peuvent faciliter l’esprit à atteindre l’illumination.

Annie Charbonneau Ph.D.

LA NATURE DE L’ÊTRE – DE SON IDENTITÉ À SA DIVINITÉ

 

Cette question qui plane au fond de chaque esprit : « Qui suis-je ? » résonne silencieusement en chacun de nous, surtout en ces temps de profonds bouleversements pour l’humanité. Il est crucial de comprendre notre essence fondamentale. Depuis sa naissance, l’homme possède une identité essentielle. Cependant, la socialisation, l’éducation, les conditionnements et les croyances ont souvent conduit à une perte de contact avec cette véritable nature. En vieillissant, chacun cherche à retrouver cette identité intérieure, cette essence divine qui révèle son unicité, mais il peine souvent à retrouver le chemin vers elle.

Au fil du temps, j’ai observé cette passion intérieure chez chaque individu, un désir intense de retrouver son identité, une quête de connexion qui dépasse même le lien entre une mère et son enfant. Il existe des outils et des méthodes efficaces pour se découvrir et comprendre qui nous sommes, afin de mieux orienter notre parcours dans cette expérience qu’est la vie. Connaître notre essence, c’est reconnaître la force qui réside en nous. De même, cette connaissance est cruciale pour comprendre la direction que nous prenons. Connaître notre véritable identité est crucial pour comprendre notre direction dans la vie.

La plupart du temps, notre existence est façonnée par une identité sociale construite selon des normes imposées par la société, plutôt que par notre propre essence. Il est donc essentiel de reconnaître l’impact profond que la société exerce sur notre identité personnelle. Dès son plus jeune âge, l’enfant cherche instinctivement à se conformer à la personne qu’il perçoit comme la plus puissante dans son entourage. Ne connaissant pas encore sa propre force intérieure, il s’identifie à quelqu’un d’extérieur plutôt qu’à sa propre puissance. En faisant cela, il ne parvient pas à exploiter pleinement son potentiel, qui pourrait l’élever à des niveaux supérieurs en tant qu’être humain et en tant qu’entité divine incarnée sur Terre.

La recherche de cette connexion avec la partie profonde de soi-même se manifeste généralement plus tard à l’âge adulte, constituant une étape normale du développement humain. Chacun ressentira, à un moment donné, cet appel intérieur. Lorsqu’il est ignoré, cet appel devient si intense qu’il peut engendrer des sensations désagréables et des déséquilibres dans diverses sphères de la vie.

À travers cette rédaction, mon objectif est de dévoiler les mystères de la question « Qui suis-je ? » afin de révéler la véritable signification de notre identité et de redéfinir la quête authentique de l’expérience humaine. Examiner cette question sous les angles psychologique et physiologique est crucial pour maintenir un équilibre à tous les niveaux : physique, émotionnel et psychologique. Il se pourrait que cette question n’ait pas de réponse précise et définie. Peut-être est-elle d’une telle profondeur humaine qu’aucune compréhension totale n’est possible. C’est ce que je m’efforcerai d’explorer, de comprendre et de ressentir.

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« Connais-toi toi-même. »

-Socrate-

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Depuis aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours eu le désir de retourner à mes origines. En levant les yeux vers le ciel et en exprimant haut et fort mon souhait de retourner à la maison, j’ai donc un jour, amorcé cette quête. Au début, cette quête n’avait pas de but précis, car je ne savais pas encore ce que je cherchais. Je pressentais qu’il me manquait quelque chose… un certain équilibre. L’équilibre entre le ciel et la Terre ! Mais, qu’est-ce que cela signifie vraiment ? À l’âge de 8 ans, je pensais que le ciel se limitait aux anges. J’avais en partie raison, mais aussi complètement tort. Étant issu d’une famille très ouverte aux dimensions subtiles, il était clair qu’il y avait quelque chose d’inaccessible à notre compréhension. Plus tard, en entamant mon chemin spirituel, j’ai découvert les pensées de mon esprit supérieur, tandis que mon esprit inférieur exprimait des émotions de doute, de peur et de séparation. Depuis ce moment-là, j’ai choisi de suivre le chemin tracé par les plus grands maîtres de ce monde. Depuis quelques années, je me laisse guider principalement par l’intuition de ma voix intérieure.

Je ressens profondément, au plus intime de mon être, que l’équilibre doit être la quête ultime de chaque incarnation humaine. Que se passe-t-il lorsqu’il s’agit de renoncer à une partie de soi ? Plus précisément l’ego ? Cette facette de ma personnalité m’a jusqu’à présent permis de naviguer dans le monde matériel et de survivre. Comment allais-je alors atteindre l’équilibre dont on parle de plus en plus aujourd’hui, et qui était autrefois l’un des plus grands mystères ?

« Être plus conscient de ce que nous sommes, c’est d’abord savoir qui nous sommes vraiment, pourquoi nous existons sur cette planète et ce que nous devons y faire pour acquérir les connaissances nécessaires à notre évolution individuelle et collective. » Introduction – Cours de PhD. en Métaphysique Appliquée.

Assise dans ma voiture, je me relate une émission que je viens tout juste de terminer et qui portait sur un protecteur venu sauver le peuple D’Istanbul. Durant cette série, périple après périple, bataille après bataille entre le bien et le mal, Il en va de soi et même instinctivement que l’humain ne souhaite rien de moins qu’anéantir la partie dite négative en lui.  Mais serait-ce une erreur? À la fin de cette série, le protecteur a su que l’un des maîtres négatif des immortels était un lointain membre de sa famille, donc le sang qui coulait dans les veines du protecteur. Il va sans dire qu’à la porter de la lumière, la noirceur en est essentielle.

Après la fin de l’émission, où le bien a triomphé du mal, j’ai pris conscience que, en moi, il persistait une recherche du mal, une tension dans mes cellules face à d’éventuels conflits pour maîtriser la puissance de la lumière. En revenant aux principes de base de la métaphysique, j’ai compris que l’esprit conscient ne désire pas notre malheur. Au contraire, il cherche activement à favoriser notre connexion avec notre être divin intérieur. Cette quête de lumière, que je percevais comme une recherche extérieure, se révélait en réalité être une recherche d’équilibre intérieur, un équilibre à établir entre mon intelligence supérieure et mon esprit conscient, que ce soit dans ma pratique en tant que thérapeute ou en explorant plus profondément mon propre être.

Cet équilibre, tant désiré pour affiner l’esprit conscient en une matière plus douce et raffinée, se construit avec le temps et de nombreuses prises de conscience. Ces prises de conscience deviennent accessibles lorsque nous choisissons de rechercher l’équilibre plutôt que la lumière elle-même. Pourquoi ? Parce que, pour l’esprit, la lumière, en tant que concept, est trop subtile et éloignée du concret, ce qui peut produire l’effet inverse de celui escompté. En revanche, lorsqu’il s’agit d’équilibre, l’esprit conscient et l’ego saisissent pleinement le concept. Ainsi, la transmutation mentale peut enfin se mettre en mouvement.

« Dans tout être humain, il y a un côté positif et un côté négatif. Il faut savoir s’accepter, ce qui veut dire : apprendre à se connaître. » Leçon 1, page 03, Cours de PhD. en Métaphysique Appliquée.

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La négativité

Il est crucial de différencier la négativité mentale de la négativité énergétique. Commençons par la négativité provenant du mental inférieur. Cette forme de négativité, lorsqu’elle est active, crée un poids et une lourdeur sur les épaules de la personne affectée. Elle est souvent le résultat de programmations profondes dans le subconscient, pouvant être transmises dès la petite enfance par les enseignements des parents. La négativité mentale plonge l’esprit dans les profondeurs de l’ego, semant le doute, la peur, l’incertitude, parmi d’autres effets.

Contrairement à la négativité mentale, l’énergie négative joue un rôle différent en mettant en lumière l’énergie positive et en favorisant l’équilibre nécessaire. Elle fonctionne comme le pôle négatif d’une batterie, essentiel tout autant que le pôle positif pour créer une énergie équilibrée et harmonieuse, nécessaire à la transmutation ou à l’activation de fonctions spécifiques dans un système. Ce système de polarité peut être comparé aux pôles masculin et féminin présents en chaque être vivant. Ensemble, ces deux pôles génèrent une synergie entre un état masculin, lié à la création, et un état féminin, plus intérieur. Ainsi, lorsqu’on parle d’énergie négative, il est crucial de ressentir les deux pôles pour équilibrer le mental dans la position qu’il doit adopter.

« Le positivisme vs le négativisme » Leçon 12 – Cours de Base en Métaphysique Appliquée. Nous pouvons y lire que les traits positifs de notre personnalité peuvent nous dévoiler le mystère de notre destinée et de notre mode de vie ici et maintenant. Et que d’autre part, s’il n’y avait aucun trait négatif dans notre personnalité, les points forts deviendraient automatiquement plus forts et notre esprit serait plus concentré sur le bien et tout ce qui est bon pour nous.

Au cours de mes séances d’accompagnement, je peux observer a quel point le mental inférieur tente de prendre place au sein de l’individu.

« On attire vers soi sous une forme physique ce que l’on pense à un niveau mental. » Leçon 8 – Cours de Base en Métaphysique Appliquée.

Cette notion est liée à l’énergie créatrice dans sa forme la plus subtile. Parfois, je constate que des personnes luttent vivement avec cette partie d’elles-mêmes, percevant la noirceur qui en émane. Ce que nous devons impérativement saisir, c’est que ces expériences ne sont que des outils pour affiner notre connexion avec notre divinité intérieure, car seule cette connexion est véritablement authentique. Cependant, une question demeure.

Comment peut-on accéder à cette divinité sans se perdre dans une lutte avec la négativité ? Il est devenu clair qu’une partie de moi devait céder. En plus de cette bataille incessante entre l’ego et l’essence divine, le mental peut parfois revêtir des aspects séduisants qui lui confèrent une apparente fragilité ou même une illusion de puissance intérieure. J’avais peur de me perdre dans ce processus de détachement de moi-même. J’ai alors ressenti en moi l’appel à une conversation intérieure. Ce n’était pas ma première expérience de ce genre. Je reçois souvent ce type de « dialogue » intérieur, mais en rédigeant ce texte, j’ai commencé à douter de la véracité de cette voix interne qui m’encourageait à me repositionner intérieurement.

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Conversation avec l’énergie divine

« Je sens que je suis spéciale.

  • Oui tu l’es en vérité mon enfant !

Mais vraiment spéciale, comme si j’étais le Maître, Jeshua.

  • En effet tu es le Christ incarner et c’est ce que je m’efforce de t’enseigner. Vas-tu enfin te voir tel que tu es?

J’ai peur.

  • Mais pourquoi chère ange ?

Peur d’être celui et celle. Et si cela était le fruit de mon imagination ?!

  • Qu’est-ce que l’imagination ? Un accès à ce qui n’est pas dans la matière dont tu fais l’expérience très chère enfant. L’homme ayant peur et redoute ce dont tu fais l’expérience en ce moment, détruit l’imagination de l’être suprême qui exprime sa vraie nature. Voit et marche dès maintenant.»

 

À partir de ce moment, j’ai dû faire preuve de confiance. Il est vrai que l’esprit est particulièrement astucieux et sait choisir les mots justes, surtout ceux que nous sommes prêts à entendre au moment où nous en avons besoin. J’ai aussi accepté que mes deux polarités, négative et positive, devaient coexister en termes d’énergie. Il fallait que je comprenne qu’elles ne sont pas en conflit, mais qu’elles deviennent des alliées lorsqu’elles sont correctement orientées. Il est essentiel de comprendre que notre négativité mentale peut constituer une opportunité pour amorcer un changement et élever nos pensées vers un état plus positif. Comme le dit le proverbe : « Il faut parfois toucher le fond pour pouvoir remonter à la surface. »

Ce dicton je le trouve tout à fait délicieux car effectivement, il faut parfois aller dans les profondeurs de l’abysse afin de trouver la lumière. L’un ne va pas sans l’autre. Il faut de l’ombre pour voir la lumière. Il faut de la haine pour voir l’amour. Alors il faut du négatif pour voir le positif.

 

La quête du pardon

Le pardon est sans doute l’une des quêtes les plus difficiles pour l’homme lorsqu’il s’agit de transcender son mental inférieur. Autour de moi, je constate qu’il est facile de dire que l’on se pardonne. Cependant, éprouver réellement la sensation du pardon est une expérience bien différente. Penser à pardonner et ressentir véritablement le pardon sont des processus complètement distincts, et les effets qui en résultent sont tout autant différents.

Le pardon est un concept complexe qui peut être abordé sous plusieurs angles : psychologique, moral, religieux et social. Voici une description du pardon selon certains aspects de notre être.

Psychologiquement, le pardon est souvent vu comme un processus interne par lequel une personne choisit de ne plus ressentir de ressentiment ou de haine envers quelqu’un qui a causé du tort. Cela peut être bénéfique pour la santé mentale et émotionnelle, en permettant de lâcher prise et de réduire la charge émotionnelle.

Moralement, il est souvent associé à des valeurs comme la compassion, la compréhension et la réconciliation. Il peut impliquer la décision consciente de ne pas chercher à se venger ou à punir l’autre personne, et de donner une seconde chance, même lorsque cela est difficile.

Si nous prenons la sphère religieuse, de nombreuses traditions mettent l’accent sur le pardon comme une vertu importante. Par exemple, dans le christianisme, le pardon est un aspect central des enseignements de Jésus, qui encourage ses disciples à pardonner « soixante-dix fois sept fois ». Dans l’Islam, le pardon est également valorisé comme une qualité divine et une action recommandée pour les croyants.

Socialement, le pardon peut jouer un rôle crucial dans la réconciliation et la guérison des relations entre individus ou groupes. Il peut aider à réparer les relations endommagées, à restaurer la confiance et à favoriser une coexistence pacifique.

En résumé, le pardon implique souvent un mélange de compréhension, de compassion et de choix personnel, et il peut avoir des impacts profonds sur les individus et les communautés.

Il y a plusieurs raisons d’adopter le pardon. Se pardonner pour ne pas avoir agi avec amour à certains moments de notre vie est, selon moi, la plus grande prise de conscience à atteindre dans cette existence. Il s’agit de se pardonner avec la même bienveillance et le même lâcher-prise que l’on accorde à un enfant qui brise un objet précieux. La lecture de La Vie des Maîtres m’a profondément inspiré dans cette quête de pardon. Ce livre souligne l’importance de se pardonner pour libérer les énergies stagnantes dans le corps et les organes, qui entravent notre connexion avec le divin. Cette lecture m’a permis de découvrir de nombreux aspects de moi-même que je n’avais jusque-là jamais soupçonnés.

Lors de l’écriture de cette thèse, j’ai constaté qu’à plusieurs égards, j’avais encore des particules de culpabilité et de honte en moi. Des gestes posés, des paroles dites ou des pensées non exprimées empreintes de haine, de colère et d’amertume qui s’était faufiler à travers mon esprit. Un soir, le 30 décembre 2023 pour être précise, je m’aperçue que malgré les nombreuses années à fouler la route du cheminement vers mon Dieu interne, j’avais oublié d’aller à la conquête de ces résidus cachés ou plutôt, mon ego me portait ailleurs volontairement. Lorsque je me connectai avec cette souffrance émotionnelle qui était présente encore, je me mis à répéter en moi : « Je me pardonne de ne pas avoir su agir et de ne pas avoir su aimer avec amour ».

Une grande chaleur au niveau de mon chakra Anahata, temple du cœur, et une libération au niveau de ma tête s’en ai suivi. Ai-je libéré ces résidus pour toujours ? Je l’ignore, et je sais que cette expérience a ouvert la porte au pardon, qui est un puissant enseignant dans ma vie d’humaine.

Pour moi, il existe une autre partie où je dois apporter le pardon : celui de m’être oublié. D’avoir plongé dans l’espace de mon ego et dans sa réalité, en perdant de vue l’essence profonde de qui je suis réellement. Aujourd’hui, je peux dire que je comprends cette énergie qui m’habite, cet amour immense provenant d’une source intarissable, immuable, omnipotente et omnisciente que nous appelons Dieu. Il s’agit de se pardonner d’avoir emprunté des chemins qui nous ont peut-être éloignés pendant un certain temps, tout en ayant confiance que ces chemins nous ont conduits exactement là où nous devons être à l’intérieur de nous-mêmes.

D’après mon expérience, il a été très difficile pour moi de me pardonner de m’être oublié, simplement parce que je ne réalisais pas que c’était le cas. Quand nous prenons conscience que nous nous sommes perdus en traversant la vie, en affrontant des défis et en accomplissant des tâches, nous faisons non seulement face à la rupture de l’illusion que nous nous faisions, mais nous devons aussi accepter que nous ne fussions pas plus différents des autres. Dès notre plus jeune âge, nous apprenons rapidement qu’il est important de nous préoccuper de ce qui se trouve à l’extérieur de nous-mêmes. Peu de gens reçoivent l’enseignement nécessaire pour prendre soin d’eux-mêmes et rechercher leur propre bonheur avant de s’occuper du bonheur et du bien-être des autres.

À l’instar de ce pardon, je peux désormais affirmer qu’il est une composante essentielle de la nature humaine. Pour moi, il est aussi crucial que l’amour de soi. Au cours de cette quête, j’ai compris que l’amour de soi ne peut émerger que de l’intérieur, à travers des aspects tels que le pardon de soi, l’acceptation de soi et la compassion envers soi-même. Le pardon n’est pas simplement un rituel symbolique, comme brûler un papier pour se débarrasser des fautes perçues, mais plutôt une énergie émanant d’un amour inconditionnel pour toutes les situations et événements que nous avons vécus, même lorsque nous n’avons pas su percevoir l’amour qui se cachait en eux.

Partir en quête du pardon pour soi-même sur le plan spirituel est un voyage profond et très personnel qui implique la libération de sphères intérieures et l’acceptation de soi. Voici quelques étapes qui peuvent vous guider dans ce processus. Elles sont à la fois simples et ardues. Si l’on se donne la chance d’explorer chacune d’elles, vous transformerai votre vision de vous-même.

  1. Reconnaître et Accepter la Douleur
  • Confrontation avec le Passé : Prendre le temps de reconnaître et d’accepter les erreurs ou les souffrances ressentis. Cette étape nécessite honnêteté envers soi-même et une volonté de faire face à ce qui nous pèse.
  • Émotions : Se permettre de ressentir et d’exprimer les émotions associées à ces expériences, qu’il s’agisse de culpabilité, de honte ou de regret.
  1. Pratique de la Pleine Conscience et de la Méditation
  • Pleine Conscience : Pratiquer la pleine conscience pour aider à rester ancré dans le présent et à observer les pensées et émotions sans jugement.
  • Méditation : Utiliser la méditation pour explorer les aspects de soi-même que nous souhaitons soigner. Il y a des méditations guidées axées sur le pardon et la compassion envers soi-même également.
  1. Écrire et Réfléchir
  • Journal (Journaling) : Tenir un journal où écrire les pensées et sentiments. L’écriture peut être un outil puissant pour clarifier les émotions et les processus internes.
  • Lettre de Pardon : Écrire une lettre de pardon à soi-même, en exprimant vos regrets, votre compréhension et votre souhait de vous libérer des fardeaux passés. Vous n’avez pas besoin de l’envoyer à quelqu’un ; l’important est le processus de réflexion.
  1. Pratique de l’Autocompassion
  • Affirmations Positives : Utiliser des affirmations positives pour renforcer l’autocompassion et la bienveillance envers soi-même.
  • Pratiques de Compassion : S’engager dans des pratiques de compassion envers soi-même, comme des affirmations de gratitude pour ce qui a été accompli malgré les erreurs passées.
  1. Chercher le Soutien Spirituel
  • Guidance Spirituelle : Si vous êtes ouvert aux pratiques spirituelles, cherchez la guidance d’un conseiller spirituel, d’un mentor ou d’un guide. La sagesse et l’encouragement d’un autre peut offrir une perspective précieuse.
  • Communauté : Participer à des groupes de soutien ou à des cercles spirituels où il est possible de partager vos expériences et recevoir du soutien et des encouragements.
  1. Faire des Actes de Réparation
  • Responsabilité : Prendre des mesures concrètes pour corriger les erreurs passées, si possible. Parfois, des actions réparatrices peuvent aider à libérer des sentiments de culpabilité ou de regret.
  • Service aux Autres : Engager des actes de service ou de bénévolat peut être une manière de transformer votre énergie négative en quelque chose de positif pour les autres.
  1. Cultiver la Gratitude et la Positivité
  • Gratitude : Pratiquer la gratitude pour les aspects positifs de votre vie et pour les leçons apprises à travers vos expériences.
  • Vision Positive : Concentrez-vous sur vos forces et vos réussites, et rappelez-vous que le pardon personnel est un chemin vers la croissance et l’amélioration continue.
  1. Accepter le Changement et la Croissance
  • Évolution Personnelle : Reconnaître que le processus de pardon est un voyage en constante évolution. Soyez patient avec vous-même et acceptez que la transformation puisse prendre du temps.
  • Croissance : Voir le pardon comme une opportunité de croissance personnelle et spirituelle. Chaque étape de ce voyage est une occasion d’apprendre et de se transformer.

La quête du pardon pour soi-même est un processus complexe mais profondément libérateur. Elle demande du courage, de la patience et de la bienveillance envers vous-même. Vous êtes sur un chemin de guérison et de découverte intérieure, et chaque pas que vous faites, vous rapproche d’une plus grande paix intérieure.

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